Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Jean-Michel Sady

Jean-Michel Sady

JeanMichelSadyKwiatkowski Ecosophie Ecologie politique Metapsychologie Naturopathie Candidat écologiste indépendant aux élections législatives 2002 2007 2012 2017 Candidat aux élections européennes 2019 pour le Parti Fédéraliste Européen Lien Twitter: R-évolution Eco-Citoyenne @SadyKwiatkowski


Législatives : Je propose la diminution drastique de la consommation de psychotropes, antidépresseurs et benzodiazépines

Publié par jean.michel.sady sur 6 Avril 2017, 21:24pm

http://legislatives-caen2017.over-blog.com/2017/04/proposition-legislative-diminuer-drastiquement-la-consommation-d-antidepresseurs-et-benzodiazepines.html
Je propose la diminution drastique de la consommation d'antidépresseurs et benzodiazépines
La France est hélas, en tête de tous les classements mondiaux en terme de consommation de psychotropes et autres pilules abrutissantes:
Afin de diminuer au maximum les prescriptions de ces drogues médicamenteuses :
1.Je propose un renforcement absolu des conditions de délivrance : Interdire la prescription (82%) par les médecins généralistes, qui, aujourd'hui bien malgré eux, cèdent trop souvent aux demandes pressantes de leurs patients, exiger avant toute ordonnance un passage devant un psychologue clinicien ou un psychiatre.
2.Je propose  de prescrire uniquement en cas de grande nécessité et pour des périodes courtes correspondant à un intense traumatisme de Vie
3.Je propose également l'organisation d'une grande campagne d'avertissement et d'information financée par l'état pour dénoncer les effets de la camisole chimique, au même titre que  l'alcool, ou le tabac,  
pour informer sur les méfaits à long terme de ces produits de la chimie pharmaceutique ainsi que sur les difficultés de sevrage,  des patients les plus addicts.

 

4.Enfin, je propose  que toute la pharmacopée de soins phytothérapeutiques de substitution, soit impérativement  réintégrée dans la nomenclature médicale et puisse donner droits à un remboursement à 100% par la sécurité sociale.

 

Aussi:
Nous changerons, en amont, l'ordre des choses, pour abonder dans le sens d'une société écosophique et nous nous attaquerons à diminuer les sources de stress de la vie moderne
Nous agirons parallélement sur tous les tableaux, à toutes les étapes de la construction du stress, burn-out, des névroses et angoisses en revenant à des bases sociétales moins anxiogènes, moins individualistes, moins libérales et plus respectueuses du vivre-ensemble...
La santé de chacun, c'est le devoir de tous, et la santé de tous, c'est l'intêret de chacun...
Encore une fois, je le dis : Nous devons faire société, pour atteindre un état de bien-être pour tous, un état de bien-être durable...

 

Jean-Michel Sady
Candidat aux élections législatives  à Caen
1000% Ecocitoyen

 

 

« La plupart des antidépresseurs sont inefficaces, et certains peuvent être dangereux, pour les enfants et les adolescents souffrant de dépression majeure selon la comparaison la plus complète à date de ces médicaments », résume le communiqué accompagnant une étude publiée dans la prestigieuse revue médicale The Lancet.

"Plusieurs médicaments autorisés dans la dépression exposent plus que d’autres antidépresseurs à des risques graves, sans avoir une meilleure efficacité que les autres médicaments de la dépression, qui ont en général une efficacité modeste, souvent d’apparition lente", estime la revue Prescrire dans son numéro de février dans lequel elle recense 71 médicaments "plus dangereux qu'utiles".

En 2015, près de 13,4 % (1 personne sur 7) de la population française a consommé au moins une fois une benzodiazépine, ce qui place la France au 2e rang pour la consommation de ces médicaments en Europe, La proportion ayant commencé un traitement au cours de cette année est de 5,4 %. L’âge médian des nouveaux utilisateurs est de 49 ans.

Les traitements sont initiés par un médecin généraliste dans environ 82 % des cas. La durée du premier épisode de traitement est inférieure ou égale à 28 jours dans 75 % des cas et inférieure à 12 semaines dans 90 % des cas.

Pour ce qui est des effets secondaires graves, « les dernières données de pharmacovigilance confirment le profil de risque déjà connu de ces médicaments » :

  • 23 % des effets indésirables graves déclarés sont des affections du système nerveux (somnolence, comas, convulsions voire, plus rarement, amnésies) ;

  • 12 % des effets indésirables graves des anxiolytiques et 17 % des hypnotiques sont des affections psychiatriques avec majoritairement des états confusionnels ;

  • les risques d’effets indésirables graves sont accrus chez les personnes âgées chez qui les chutes sont fréquemment rapportées.

Les benzodiazépines exposent aussi :

  • à un risque d’abus et de dépendance physique et psychique 

  • une augmentation du risque d’accidents de la route. « Des études internationales montrent une augmentation de 60 à 80 % du risque d’accidents, ce risque étant multiplié par 8 en cas de consommation concomitante avec de l’alcool. »

  • Sources Psychomédia

 

 

Législatives : Je propose la diminution drastique de la consommation de psychotropes, antidépresseurs et benzodiazépines
Législatives : Je propose la diminution drastique de la consommation de psychotropes, antidépresseurs et benzodiazépines
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents