Derrière des petites phrases convenues, des jeux de mot pathétiques du genre :Toutes les polémiques ménent aux Roms.
Antoine Casini le socdem vallsien nous en remets une couche xénophobe, purulente,fasciste, démagogique.
S'il pouvait valser et disparaître du jeu politique aux prochaines élections nous ne pourrions que nous en réjouir
Jean-Michel Sady
EXTRAITS communiqué de presse Antoine Casini:
"Les propos tenus, en début de semaine par Manuel Valls, ministre de l’intérieur, sur les difficultés d’intégration des populations roms ont provoqué un certain émoi et de nombreuses réactions autour de l intégration des populations récemment installées sur le territoire national.
Comme élu, je constate, ayons le courage de regarder la réalité en face, que nous devons faire face à un problème particulier d’assimilation des valeurs républicaines et de la loi par des populations jeunes et/ou récentes sur le territoire national.
Cela ne doit pas pour autant nous interdire, au nom de je ne sais quelle culpabilité, d’affronter l’urgence de la réalité et de combattre et punir ceux qui, bien que minoritaires, prétendent imposer la loi de la rue ou des traditions communautaires, ethnico-religieuses, aux antipodes de nos valeurs.
Cette situation, aussi relative soit-elle, représente un danger pour notre démocratie (oooups!!!).....
«Je me suis pâmé,
il y a huit jours,
devant un campement
de Bohémiens
qui s’étaient établis à Rouen.
Voilà la troisième fois que
j’en vois et toujours avec un nouveau plaisir. L’admirable,
c’est qu’ils excitaient la haine des bourgeois, bien qu’inoffensifs comme des moutons. Je me suis fait très mal voir de la foule
en leur donnant quelques sous,
et j’ai entendu de jolis mots
à la Prud’homme.
Cette haine-là tient
à quelque chose de très
profond et de complexe.
On la retrouve chez tous les gens d’ordre. C’est la haine que
l’on porte au Bédouin,
à l’hérétique, au philosophe,
au solitaire, au poète.
Et il y a de la peur dans
cette haine. Moi qui suis
toujours pour les minorités,
elle m’exaspère. Il est vrai
que beaucoup de choses m’exaspèrent. Du jour
où je ne serai plus indigné,
je tomberai à plat,
comme une poupée à qui
on retire son bâton. »