consacré à Patrick Laurent,
je tiens à nouveau à réagir aux déclarations erronées et arrangées du maire de Luc
Patrick Laurent n'a pas à se determiner en lieu et place de la population, à une date aussi proche des élections: Puisqu'il s'interdit l'utilisation d'un référendum,
qu'il puisse attendre a minima que le débat des municipales puisse avoir lieu.
Parions qu'il ne sera pas reconduit comme maire pour le bien de la commune et du canton de Douvres.
Concernant les Bus Verts ils offrent une prestation de haute-qualité à un prix raisonnable, prestation qui n'a rien à voir avec les dessertes très occasionnelles des bus Twisto viacités vers les plages de Lion et Hermanville, dessertes qui n'ont pas d'ailleurs vocations à les remplacer.
Patrick Laurent voudrait aussi nous faire avaler (en prenant pour exemple les SDIS) qu'une entrée dans Caen-La-Mer, ferait faire des économies à la commune et à ses habitants, hors si nous mettons sur la table, l'ensemble des dépenses et recettes générées, c'est tout à fait l'inverse qui se produira.
En réalité,le maire , de Luc, veut faire payer aux Lutins, ses dissensions personnelles avec la communauté de communes Coeur de Nacre. Entre autres affaires, celle de l'école de musique. Cette pratique est scandaleuse et antidémocratique.
Merci d'en informer, si vous l'acceptez, vos lecteurs
Bien cordialement
Jean-Michel Sady
Présent au second tour des municipales 2001 à Luc-Sur-Mer
Candidat pour le canton de Douvres
aux prochaines élections cantonales ou territoriales
Patrick Laurent, maire de Luc-sur-Mer, à 15 kilomètres du centre-ville caennais, souhaite que sa commune intègre la communauté d’agglomération Caen la mer.
Tendance-ouest 6 Septembre 2012
Pourquoi vouloir quitter la communauté de communes Coeur de Nacre à laquelle votre commune appartient depuis 2002 ?
"Je préfère dire ce que j’attends de Caen la mer ! Plus sérieusement, il manque actuellement une cohérence au niveau du découpage territorial, notamment sur la Côte de Nacre. Les Lutins (habitants de Luc sur mer) vont autant travailler dans l’agglomération caennaise qu’à Douvres la Délivrande. A l’inverse, beaucoup de Caennais viennent à la plage à Luc. Et concernant le tourisme, nous nous sentons plus proches de Lion-sur-Mer, d’Hermanville-sur-Mer, voir de Ouistreham, que d’Anguerny ou Anisy".
Quel intérêt pour vos administrés à rejoindre Caen la mer ?
"La liste est longue. Les transports pour commencer. Aujourd’hui, nous dépendons des Bus Verts du Calvados. Et la différence est notable en terme de coût avec Viacités, qui dessert les villes de Caen la mer. A ma connaissance, Caen la mer assume aussi la cotisation au Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) qui doit être de l’ordre de 60.000 à 70.000€ mais aussi l’emploi des sauveteurs en été. Celui-ci a représenté cette année dix personnes sur deux postes de secours en juillet et en août, plus leur hébergement. Et de façon générale, en intégrant Caen la mer, le service aux Lutins serait vraiment plus significatif".
Serait-ce un coup de fouet pour la démographie de Luc ?
"Cela n’est pas notre préoccupation. La surface de la commune est petite. Nous souhaitons plutôt un maintien de la population, peut-être une très légère hausse".
Comment votre souhait est-il accueilli au sein de la communauté Coeur de Nacre ?
"Notre démarche individuelle n’est pas forcément très appréciée. Mais Coeur de Nacre tient un double discours : elle veut de nouvelles compétences mais déclare elle-même qu’elle travaille à des rapprochements avec Caen la mer".
Et vos relations avec Caen la mer ? La communauté d’agglomération serait-elle prête à accueillir Luc ?
"Oui, cela m’a été dit et écrit. Le maire de Biéville-Beuville, Dominique Vinot-Battistoni, et le maire d’Hermanville-sur-Mer, Jacques Lelandais, tous deux vices-présidents de Caen la Mer, ont apporté leurs témoignages lors d’un conseil municipal fin août. Ils ne se sentent pas perdus dans Caen la Mer. Mais de toute façon, l’application du schéma départemental de coopération territoriale court jusqu’au 1er janvier 2013. D’ici là, il ne peut rien se passer. Et il y aura aussi en 2014 les élections municipales".
(Publié le 06/09/2012 à 15h55 par F.B )
lundi 04 juin 2012
Jean-Michel Sady, candidat de l'Alliance écologiste indépendante dans la circonscription Bessin - Côte de Nacre, a tenu à réagir aux déclarations du maire de Luc-sur-Mer, Patrick Laurent. « Il y a quelques semaines, il a annoncé sa volonté de rejoindre Caen-la-Mer, sans consultation de la population. Pourtant, l'activité de Luc-sur-Mer a toujours été étroitement liée à celle de Douvres-la-Délivrande », estime le candidat.
Il argumente : « Les Lutins font une partie de leurs achats à Douvres, les collégiens de Luc sont pour la plupart scolarisés à Douvres, les Lutins passent tous les jours à Douvres pour se rendre à Caen, les deux territoires sont très proches. Un départ de Luc-sur-Mer de Coeur-de-Nacre pour rejoindre Caen-la-Mer serait absolument insensé, hormis si Douvres se décidait au même choix », commente-t-il. Il ajoute : « Ce départ s'accompagnera d'une forte augmentation de l'impôt local. » Et demande à Patrick Laurent et son conseil municipal « d'organiser un référendum ou une consultation des Lutins sur le sujet ».
Ce lundi 4 juin, de 11 h 45 à 13 h, réunion publique de Jean-Michel Sady (AEI), petite salle Brummel.